Depuis quelques années, les compléments à base de collagène ont fait leur entrée en force dans le monde de la beauté et du bien-être. Peau plus ferme, ongles renforcés, cheveux brillants, articulations soulagées… les promesses sont nombreuses. Mais dès qu’on adopte une routine plus consciente, respectueuse des animaux et de l’environnement, une question se pose rapidement : qu’en est-il du collagène vegan ? Et surtout, est-il aussi efficace que le collagène animal ?
Dans cet article, je partage avec vous un véritable état des lieux : les différents types de collagène, leur origine, leur impact, ce que dit la science sur le collagène vegan, les limites des formules animales, ainsi que mon avis sur le collagène vegan tout juste lancé par Ringana, que je viens de commencer à tester. Je vous partagerai mes impressions personnelles dans quelques semaines, mais déjà, voici tout ce que j’ai appris et que je peux vous transmettre.
Qu’est-ce que le collagène ?
Le collagène est une protéine naturellement présente dans notre corps, notamment dans la peau, les os, les tendons, les cartilages et les ligaments. Il représente environ 30 % des protéines totales du corps humain. C’est un peu l’armature de notre organisme : il assure la structure, la solidité et l’élasticité des tissus.
Avec l’âge, notre production naturelle de collagène diminue. Dès 25 ans, elle commence à ralentir, puis chute plus nettement autour de 40 ans. Cette perte se traduit par :
- Une peau moins ferme, plus relâchée
- L’apparition de rides et ridules
- Des ongles cassants
- Des douleurs articulaires ou une rigidité accrue
C’est pour cette raison que beaucoup se tournent vers les compléments alimentaires, censés soutenir ou stimuler la production de collagène.
Collagène animal vs collagène vegan : quelles différences ?
Collagène animal : le plus couramment utilisé
La majorité des compléments disponibles sur le marché contiennent du collagène d’origine animale :
- Collagène bovin : extrait de la peau ou des os de bovins
- Collagène marin : issu des écailles ou arêtes de poissons
Ces types de collagène sont naturellement similaires à celui présent dans le corps humain, et sont souvent bien assimilés. Ils peuvent contenir différents types de collagène (notamment de type I, II ou III).
Mais leur origine pose plusieurs questions :
- Éthique animale (abattage, exploitation des sous-produits)
- Risques sanitaires (polluants, métaux lourds, microplastiques dans les poissons)
- Problèmes environnementaux liés à la surpêche ou à l’élevage intensif
- Non conformité avec un mode de vie vegan ou végétarien
Collagène vegan : une approche différente
Le collagène vegan, en réalité, n’est pas du collagène en soi, puisqu’il n’existe pas de collagène naturellement présent dans les plantes. Ce que l’on appelle « collagène vegan » correspond à deux types de produits :
- Des précurseurs de collagène : des nutriments qui stimulent la production naturelle de collagène (vitamine C, zinc, acides aminés, silicium, etc.)
- Des alternatives biosynthétiques : issues de la fermentation de levures ou de bactéries génétiquement modifiées pour produire des protéines similaires à du collagène humain (encore rares, mais très prometteuses)
Ces formules vegan ne fournissent pas directement du collagène, mais elles créent les conditions idéales pour que notre corps en produise lui-même.
Les types de collagène et leur rôle
Il existe au moins 28 types de collagène identifiés dans le corps humain, mais les plus connus sont :
- Type I : le plus abondant, présent dans la peau, les tendons, les os. Idéal pour la fermeté et l’élasticité cutanée.
- Type II : spécifique aux cartilages. Intéressant pour les douleurs articulaires et la mobilité.
- Type III : présent dans les organes et les parois des vaisseaux sanguins. Il agit en synergie avec le type I pour soutenir la souplesse de la peau.
- Type IV et V : moins connus, mais impliqués dans la structure des membranes et des cheveux.
Les compléments à base de collagène vegan ciblent généralement la production naturelle de type I et III, essentiels pour la peau et les tissus conjonctifs.
Collagène vegan : que disent les études scientifiques ?
Bien que le collagène vegan soit plus récent que les compléments bovins ou marins, plusieurs études soutiennent son intérêt.
- La vitamine C est essentielle à la synthèse du collagène : elle agit comme cofacteur indispensable (Carr & Maggini, Nutrients, 2017).
- Des acides aminés comme la glycine, la proline et l’hydroxyproline sont les blocs de base du collagène. Leur importance dans la santé des tissus est démontrée (Ricard-Blum, Pathologie Biologie, 2011).
- Le silicium végétal, présent dans la prêle ou le bambou, participe à la régénération du tissu conjonctif (Jugdaohsingh, Nutrition & Health, 2007).
- Des extraits comme l’acerola, l’amla ou les peptides de levure montrent aussi des résultats positifs sur la densité de la peau (Zague et al., Clinical Interventions in Aging, 2018).
Des recherches récentes explorent même la possibilité de produire du collagène « bio-identique » grâce à la fermentation de levures modifiées : une piste très sérieuse pour l’avenir, 100 % vegan et sans cruauté animale (Chung et al., ACS Biomaterials Science & Engineering, 2020).
Mon expérience passée avec le collagène
J’ai déjà testé par le passé des compléments au collagène dits « classiques ». Mais je dois avouer que je ne connaissais pas la provenance exacte des ingrédients, et le manque de transparence des marques me mettait mal à l’aise. À force de doutes, j’ai fini par arrêter, en me disant que j’attendrais une alternative vraiment alignée avec mes valeurs.
C’est pour cela que l’arrivée de formules clairement identifiées comme vegan a changé ma perspective : enfin, des solutions qui respectent à la fois mon éthique et ma santé.
Collagène vegan avis : pourquoi j’ai choisi cette option
Aujourd’hui, voici pourquoi je me tourne vers les formules vegan :
- Elles sont plus respectueuses du vivant et de la planète
- Elles apportent des nutriments essentiels à la synthèse du collagène
- Elles sont souvent mieux tolérées (moins de risques d’effets indésirables)
- Elles s’inscrivent dans une vision globale du soin : alimentation, hydratation, compléments adaptés, mouvement, gestion du stress…
Le collagène vegan n’est donc pas une copie du collagène animal : c’est une autre approche, qui stimule notre corps à produire lui-même ce dont il a besoin.
Collagène et peau : est-ce que ça marche vraiment ?
La réponse est nuancée. Prendre un complément (vegan ou animal) ne suffit pas à transformer sa peau du jour au lendemain. Mais dans un cadre global (bonne alimentation, soins adaptés, hydratation, sommeil), les effets peuvent être notables.
Ce que j’ai pu observer autour de moi et dans les témoignages :
- Une peau plus rebondie
- Un teint plus lumineux
- Moins de sensations de peau sèche ou terne
- Des ongles qui se cassent moins facilement
Bien sûr, cela dépend du produit utilisé, de la durée, et de la régularité.
Collagène et articulations : un bienfait souvent oublié
On parle beaucoup du collagène pour la peau, mais il joue aussi un rôle majeur dans le confort articulaire. Le collagène de type II, par exemple, est essentiel pour la souplesse des cartilages. Des compléments vegan riches en précurseurs peuvent donc aussi aider les personnes qui veulent prévenir la raideur articulaire ou accompagner leur pratique sportive.
Collagène et cheveux : un atout supplémentaire
Le collagène participe à la solidité des follicules pileux et donc à la santé générale des cheveux. En soutenant la production naturelle de collagène, on peut espérer :
- Des cheveux plus forts
- Moins de casse
- Une meilleure brillance
C’est un atout qui fait du collagène vegan un allié global pour la beauté.
Et Ringana dans tout ça ?
Ringana vient tout juste de lancer son propre complément au collagène vegan, et je dois dire que j’étais très curieuse. Fidèle à son approche éthique et scientifique, la marque a mis au point une formule qui repose sur :
- Des peptides végétaux et des extraits ciblés
- Une forte teneur en vitamine C naturelle
- Des composants comme la prêle, la grenade, l’amla ou la vitamine E
La formulation est bien pensée, sans ingrédients inutiles, toujours fraîche, sans conservateurs ni additifs synthétiques.
Je viens tout juste de commencer la cure, donc je ne peux pas encore vous donner mon retour personnel. Cela dit, Ringana a déjà réalisé des études internes sur l’efficacité de ce collagène vegan, avec des résultats visibles que vous pouvez consulter directement sur leur site.
Et honnêtement, vu la qualité des produits Ringana que j’utilise au quotidien (ma peau à tendance acnéique s’est transformée depuis que j’ai adopté leur routine), j’ai une confiance totale dans cette nouvelle formule.
💬 Parlons-en ?
Tu te demandes si un complément au collagène vegan pourrait convenir à ta peau ? Tu veux des conseils sur ta routine ou simplement discuter de cosmétiques plus alignés avec tes valeurs ?
J’aime pouvoir partager mes recherches et mes expériences pour aider celles et ceux qui, comme moi, cherchent des solutions plus saines et alignées avec leurs valeurs.
🌿 Je teste en ce moment le nouveau collagène vegan de Ringana. Même s’il est tout nouveau, il s’appuie sur des recherches sérieuses et des formulations très concentrées (jusqu’à 90 % d’actifs dans leurs produits !). Je vous ferai un retour honnête dans quelques semaines, mais je peux déjà dire que j’ai 1000 % confiance dans cette marque.
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